Ce lundi 24 mars, en recevant des artistes, dont Fodé Baro, venus adhérer à la Synergie Général Mamadi Doumbouya 2025, l’ancien ministre de la communication, Alhousseiny Makanera, a déclaré que les guinéens doivent soutenir le président de la transition.
‘’Nous sommes dans l’obligation de soutenir, pas par amour de le soutenir mais dans l’obligation. C’est une obligation quand on a l’amour de sa partie. Parce que aimer sa patrie, ce n’est pas aimer sa terre ou son sol. Il s’agit d’aimer les gens qui vivent sur cette terre. Il est en train de faire notre bonheur”, a affirmé l’ancien ministre de la communication.
Avant de poursuivre : ‘’Il est en train de faire le développement économique, mais surtout, il est en train d’assurer la sécurité. Avant ce n’était pas ça, il y avait des zones ici de non droit. C’est en Guinée seulement où j’ai vu qu’on érige un mur sur l’autoroute. Et ça s’est resté des jours. Grâce à lui aujourd’hui les guinéens se réconcilient, se parlent’’.
‘’Tout n’est pas parfait mais aucune œuvre humaine ne peut revendiquer la perfection. Le général Mamadi Doumbouya reste et demeure l’exception, même en Afrique’’, a soutenu Alhousseiny Makanera.
Il rappelle qu’au début de la transition, ‘’quand la transition a commencé, j’ai dit que la transition ne peut pas produire grande chose parce que les investisseurs n’allaient pas venir, la communauté internationale va fermer les robinets’’.
Le président du Front national pour le développement affirme que ‘’quand j’ai les agrégats, les rapports macro-économiques ; la progression de notre PIB du 5 septembre 2021 à maintenant, dépasse celle de l’indépendance jusqu’à 2010. Ceux qui sont dans la capitale ici ne savent pas ce qui se passe. Il faut aller à l’intérieur. Partout dans ce pays, vous avez une touche du CNRD. Il y a des investissements partout. C’est formidable”.
Makanera assure que ‘’celui qui aime la Guinée devient obligatoirement esclave du CNRD.
Boussouriou Doumba, pour VisionGuinee.Info
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Mon cher Makanera, nous aimons le CNRD, mais devenir son esclave, cela ne mérite pas d’être dit. La politique est une question de conviction, le libre choix. On ne peut imposer le choix, il dépend du programme de société que chaque parti va proposer au peuple de Guinée.
La compétition doit être ouverte au moment venu, chacun aura le libre choix suivant le programme de chaque parti politique.