[dropcap]D[/dropcap]es enseignants grévistes sont descendus dans la rue ce lundi 24 décembre, bravant l’interdiction de manifester. Ils entendent ainsi envoyer un signal fort au locataire du palais de la colombe Kassory Fofana qui exige la suspension du mot d’ordre de grève avant l’ouverture des négociations.
Les manifestants se sont donné rendez-vous dans la matinée du lundi à Gbessia. De là, les protestataires ont pris la direction de Dabondy en scandant des propos hostiles au Premier ministre.
Samedi dernier, le meneur de la grève, Aboubacar Soumah, avait donné le ton. Le syndicaliste accuse Kassory Fofana de fouler au pied le droit de grève consacré par la constitution.
“Si lui, en tant que Premier ministre, il ne peut pas faire face aux préoccupations des enseignants qui sont chargés de former les ressources humaines, nous allons lui montrer qu’il n’est pas le seul fils de ce pays et qu’il ne mérite pas d’être Premier ministre’’, a-t-il lancé à ses collègues enseignants.
Je vois l’essouflement des enseignants a cause de leurs entements. Soumah est un mauvais leaders, il a conduit cette greve d’une main de fer a une main de lepreux . Aujourd’hui, il a dos au mur. Soumah n’est plus loin de passé du hero au zero.
Ce pays est vraiment atypique par la nature des être qui l’habite!
Comment des humains sensés et conscients qui n’ont accompli le moindre travail, peuvent-ils prétendre à des salaires ?
Wallahi, la Guinée a bien besoin d’une dictature pour faire marcher sur les 2 pieds certains êtres dénommés « Guinéens »!
L’Etat doit radier ces fainéants de la fonction publique qui veulent avoir un salaire pour un travail qu’ils ont refusé et continuent de refuser de faire. Ils peuvent chercher d’autres boulots où ils pourront gagner un salaire mensuel de base de 8 millions . Personne n’est obligé d’être enseignant. C’est un choix avec les conséquences qui vont avec. Il faut finir à tout prix avec ces revendications fantaisistes.