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72 heures du livre : le Comité d’organisation plus que jamais engagé

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[dropcap]L[/dropcap]a maison d’éditions L’Harmattan Guinée organise depuis 2008 les 72 heures du livre. Un événement socio éducatif doublé de son caractère culturel et scientifique. L’ambition qui anime ses organisateurs est de faire de Conakry la capitale mondiale du livre en 2017.

Harmathan GuinéeEn marche donc vers la tenue de cette 7è édition prévue les 23, 24 et 25 avril prochain, les membres du Comité d’organisation de cette rencontre internationale ont tenu leur réunion périodique ce jeudi 12 février pour évaluer le travail déjà fait et se projeter dans l’accomplissement de ce qui reste à faire.

Toute une série d’activités à réaliser tant à Conakry qu’à Labé, ville invitée d’honneur de l’édition de 2015. Une autre empreinte apposée aux 72 heures du livre de cette année, c’est la participation de la Côté d’Ivoire en tant que ville invitée d’honneur. ‘‘A ce titre, une forte délégation ivoirienne de tous les métiers du livre, notamment des écrivains, des éditeurs, les journalistes vont se transporter sur Conakry pour cette grande activité’’, a laissé entendre le président du Comité d’organisation des 72 heures du livre version 2015, en même temps président du Collectif des écrivains édités par L’Harmattan Guinée, Lamine Kamara.  ‘‘Mais au paravent, poursuit-il, nous devons nous rendre au Salon du livre de Paris qui aura lieu du 19 au 25 mars’’.

L’intention affichée des organisateurs de cet événement, est de faire venir de façon, tous les pays de la CEDEAO à Conakry.  ‘‘Cette année, ça va être la Côte d’Ivoire. L’année prochaine, on va faire en sorte que ce soient deux ou trois pays. Et au bout du compte, que ce soient les 15 membres de l’organisation qui se retrouvent ici pour célébrer, afin d’avoir un salon de la CEDEAO, mais qui se tient à Conakry. Et après, on peut s’élargir à d’autres horizons’’, a formulé l’ex ministre Kamara.

Egalement, Conakry ambitionne d’être élue capitale mondiale du livre en 2017. Le projet est déjà discuté avec l’UNESCO qui l’a approuvé. A en croire Lamine Kamara, si cela est acquis, cela amènera non seulement beaucoup de financements dans le domaine du livre en Guinée, mais aussi, il permettra d’avoir une meilleure visibilité sur le pays.

Le directeur général de L’Harmattan Guinée, Sansy Kaba Diakité motive cette volonté par le fait que Ouagadougou a le cinéma, Bamako a la photo, Abidjan a la musique et Dakar, la mode.

Mady Bangoura pour VisionGuinee.Info

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