Au sein de la direction du Fonds national de l’insertion des jeunes (FONIJ), l’année 2022 a été en partie consacrée à la détection des talents, l’accompagnement de projets portés par des jeunes. Au cours de l’année en cours, selon le directeur général Abdourahmane Baldé, au moins 200 projets bénéficieront du soutien de sa direction.

Pour le directeur général du Fonds national de l’insertion des jeunes, la réalisation des différents projets du FONIJ traduit la volonté du chef de l’Etat d’être aux côtés de la couche juvénile.

‘’Il y a la garantie et la volonté. Le leader actuel qui dirige notre nation, le colonel Mamadi Doumbouya est un humain. Il n’aime pas le mensonge. Ça, chacun le sait. C’est un humain qui ne fait pas de la politique politicienne qui nous dirige’’, indique-t-il.

Pour exécuter les projets, précise Abdourahmane Baldé, ‘’nous allons mobiliser les moyens. Comme il y a la volonté, nous allons continuer à travailler’’.

Désormais, chaque jeune guinéen a la possibilité de travailler avec le FONIJ.  ‘’Vous ne serez même pas accueilli n’importe comment. Vous avez votre bureau FONIJ. Quand vous arrivez pour 30 minutes ou 1 heure, personne ne vous dérange. Vous avez votre bureau. Jeunes de Guinée âgés de 15 à 35 ans. Vous avez un espace de travail qui est bien équipé. Pour votre projet, vous serez écouté et nous allons le porter avec vous. Nous allons voir à quelle hauteur nous pouvons contribuer en fonction des moyens disponibles pour vous booster’’, assure-t-il.

Dans l’émission Mirador, le patron du FONIJ demande aux jeunes de rester optimistes. ‘’Ne rentrons pas dans ce désespoir. Nous savons ce qu’était la Guinée hier. Chacun a subi un peu. Mais aujourd’hui ça va, car c’est la sérénité au palais. Ce n’est plus le discours discriminatoire’’, lance-t-il.

Actuellement, fait-il savoir, ‘’nous sommes à 45 projets déjà financés. Nous finançons des projets jusqu’à 15 millions GNF. Cette année, nous irons jusqu’à 200 projets, nous aurons 800 stages créés. C’est pourquoi, nous avoir mis en place la salle digitale. Parce qu’il faut que Kaloum soit envahie et que les entreprises soient envahies par des jeunes pour une insertion. Et ce sera notre locomotive jusqu’à l’intérieur du pays’’.

Salimatou BALDE, pour VisionGuinee.Info

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