[dropcap]M[/dropcap]oins de 27% de candidats ont été déclarés admis au baccalauréat. Le secrétaire général du Syndicat libre des enseignants et chercheurs de Guinée (SLECG) impute la responsabilité de cet échec au gouvernement.
Aboubacar Soumah estime que ‘’le retard de la tenue des ateliers régionaux, la précipitation dans l’organisation des examens nationaux, le manque d’écart entre les différents examens et de repos dans leur déroulement’’ sont les causes du faible taux d’admission au Bac.
Le syndicaliste à la base de deux récentes grèves dans le système éducatif, pointe du doigt la diminution du nombre de surveillants, de correcteurs, de secrétaires alors que l’effectif des candidats a augmenté. Il dénonce également la politisation des examens par ‘’militantisme et clanisme en lieu et place des enseignants’’.
Selon le patron du SLECG, le rapport de la commission de réflexion sur l’éducation nationale a recommandé la réduction progressive de l’orientation des bacheliers dans les universités privées pendant les trois prochaines années.
‘’Ils ne veulent pas livrer le surplus d’admis au Bac dans les institutions privées d’enseignement’’, assure-t-il, estimant que les résultats publiés ne reflètent pas la prestation des candidats. C’est pourquoi, il demande au service des examens de publier les vrais résultats.
Boussouriou Doumba, pour VisionGuinee.Info
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C’est bien lui et ses camarades qui demandaient des milliards comme salaire de base, des incapables
Regardez son visage on dirait coup de poing ! c’est à cause des recents grêve de toi et tes camarades qui ont contribué à l’échec des élèves au bac.Tu es là, à te justifier et nous raconter du n’importe quoi comme si tu n’es pour rien dans cette affaire.