[dropcap]L[/dropcap]e syndicaliste Aboubacar Soumah, à l’origine de la grève des enseignants, n’est pas prêt de courber l’échine. Fort du soutien de la Fédération syndicale et assurance des banques de Guinée (FESABAG) et la Plateforme des citoyens unis pour le développement (PCUD), il n’entend pas lever le pied de l’accélérateur avant d’avoir obtenu le paiement immédiat des 40% avec effet rétroactif.
Face à la presse, il a tenu à réagir à des propos qu’il attribue au ministre Damantang Albert Camara. ‘’Il déclare que les 40% ne sont pas un acquis. J’ai toujours dit qu’il ne mérite pas d’être un ministre du travail. Quand on est ministre du Travail, on doit d’abord maitriser les textes qui régissent les relations sociales entre patrons et employés’’, lance-t-il à l’endroit du porte-parole du gouvernement.
A ce dernier, il dit que les 40% sont un acquis pour les enseignants. ‘’Qu’il considère cela comme une augmentation de salaire ou autre. Lorsque la valeur monétaire du point d’indice baisse, cela fait baisser le salaire parce qu’on multiplie l’indice par la valeur monétaire du point d’indice pour déterminer le salaire. C’est élémentaire et il faut qu’il comprend cela’’, dit-il encore à Damantang Camara.
Aboubacar Soumah assure que le paiement des 40% que réclament les enseignants est ‘’un remboursement et non une augmentation de salaire. ‘’Il dit que gouvernement nous a fait une proposition et que nous campons sur notre position, mais il oublie que nous avons été les premiers à céder. Au lieu de réclamer un remboursement de 16 mois, nous avons dit au gouvernement de payer les 40% avec effet rétroactif à parti du mois de novembre 2017’’, continue le syndicaliste.
A l’en croire, le point sur les 40% reste et demeure non négociable : ‘’Il faut ces 40% soient payés intégralement et avec effet rétroactif. Les négociations, c’est sur les 8 millions de francs guinéens de salaire minimum pour tous les enseignants. Sinon, on n’est pas prêts de suspendre la grève’’.
Aissatou DIALLO, pour VisionGuinee.Info
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J ai die et je répète que aboubacar soumah est pris en otage par l opposition. Il n est plus maître de lui même il obéi a abdouramane sanoh et cellou dalein
Il faut connaître son droit et le revendiqué a tout prix. C’est valable pour tous citoyens guinéen que tu sois pro or anti Alpha de connaître son droit et son devoir.. Mais c’est dommage de constater que certains personnel vivent dans la précarité. D’apres mon analyse c’est comme si le noir existe mais il ne vit pas.
Ca c’est un MEC ca Monsieur SOUMAH. Pas une enfant a berner.
Les gars ils disent les caisses sont vides mais pour l’instant ils mettent des milliers d’ Euro et de dollars pour voyager et acquérir des maisons et des villas en Europe et au Canada. Et ces memes personnes veulent nous faire croire que les caisses sont vides. Et aussi le pere Noel exsite !
Le voleur crie toujours au voleur. Il était là il faisait ça il pense que c’est ce que les autres font.
Soumah ne contrôle plus le mouvement syndicale.
En avant ! Mr Soumah. C’est ça un vrai homme. Tu as le soutien de tout le peuple de Guinée hors mis les démagogues !
Big up mr SOUMAH, la Guinée des silencieux te soutient et ton combat est noble,
A bas les faux syndicats !
Je suis d’accord. Dommage des guineens qui prennent cette grève sous l’angle ethnique. Ils ont une conscience erronée.
Mr. Aboubacar soumah votre revendication est légitime mais je vous demande d être flexible dans les négociations car notre pays la Guinée a connue beacoup de trouble sociaux. Personnellement je vous prie de penser a la nation guinéenne
Virement le combat de Mr soumah est noble mais quand on travail avec des gouvernants non soucieux du progrès de ce pays ou de l’éducation parc que leurs fils sont a l’étranger ayez le courage de penser au bas peuple aussi malgr3 tout
C’est bien de penser à la nation guinéenne mais il n’est aussi pas mauvais d’aspirer au bien être surtout quand on sert loyalement et dignement cette nation