Ça s’appelle réprimer une « faute » par un « crime ». Les faits se sont produits mardi soir dans le village de Subalpur, Bengale occidental, à l’est de l’Inde. Sur ordre du conseil du village, une femme de 20 ans a été victime d’un viol collectif en représailles à une relation amoureuse avec un jeune d’une autre communauté.
Le viol collectif a été confirmé par la jeune fille, hospitalisée. Elle a même précisé que ses agresseurs avaient tous l’âge de son père. Il faut dire que le cas de cette jeune femme de Subalpur n’est pas isolé dans cette région du monde où les conseils de village sont très influents. Et les associations de défenseurs des droits de la femme s’en indignent de plus en plus. Selon Kavita Krishnan, secrétaire de l’association All India Progressive Women’s Association, le cas dans le Bengale occidental montre « le gouffre subsistant entre notre constitution et notre société. (…) Les racines sont ancrées profondément dans notre société et notre caste ».
La Nouvelle Tribune
si ce vrai le chef du billage ou du distruct a ordonne les agents d la violer publiquement parcequ elle n a pa pu payer son amende pour ce chef doit puni a la hauteur de sa forfetiur
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