Appel à la prise du pouvoir par un coup de force en 2020 : Ousmane Gaoual Diallo regrette ses propos
[dropcap]L[/dropcap]e coordinateur de la cellule de communication de l’UFDG estime que Cellou Dalein Diallo est en plein droit de recadrer n’importe quel cadre du parti, s’il estime que la personne tient des propos qui sont en décalage avec les fondements de sa formation politique.
La déclaration du député Ousmane Gaoual Diallo invite après la sortie médiatique du président de l’UFDG sur le plateau de TV5 où il a déclaré ne pas partager les propos tenus par l’élu de Gaoual au siège du parti le 4 mai dernier.
‘’Si on comprend bien le sens, j’ai dit que je souhaite que ce soit dans une élection régulière et c’est le combat de l’UFDG, sinon le peuple assumera et prendra sa responsabilité’’, indique Ousmane Gaoual Diallo pour assurer sa défense.
‘’Ceux qui pensent que je parle d’un coup d’Etat, je suis désolé. Je ne parle pas d’institution militaire, je parle de coup de force. Maintenant que cela a été mal perçu, je comprends parfaitement et c’est le rôle du président de l’UFDG de remettre les pendules à l’heure lorsqu’il estime qu’un de ses cadres a fait ou dit une phrase qui soit en décalage avec l’UFDG’’, relativise-t-il.
A en croire l’honorable Diallo, l’UFDG reste dans le combat démocratique. ‘’Nous souhaitons que tout se passe dans l’esprit de la loi. Si ce que j’ai dit a été perçu comme un coup de force, parce que nous sommes dans un pays de brutalité, je regrette mes propos’’, affirme-t-il.
Heureusement, se réjouit le parlementaire, ‘’j’ai un patron qui, quand il estime qu’il y a un dérapage, nous remet sur le bon chemin. Ça veut dire qu’il y a une tête dans le parti et que lorsque nous nous exprimons, les mots échappent à ce que nous pensons profondément, le président remet les pendules à l’heure’’.
Djiwo BARRY, pour VisionGuinee.Info
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C’est une Tempête dans un verre d’eau que Damaro Camara et autres veulent exploiter contre UFDG.
Alpha Condé a dit Affrontements entre les guinéens et personne du RPG arc en ciel n’a recadré cette déclaration, sauf pour dire que c’est affrontement d’idées et, on n’emprisonne que les Partisans du NON au changement de la Constitution Guinéenne.