La direction générale de la police nationale est à pied d’œuvre pour séparer le vrai grain de l’ivraie. Depuis plus d’une semaine, une vaste campagne d’assainissement de la police routière est lancée à Conakry. Quarante-cinq (45) policiers ont été mis hors d’état de nuire.
Depuis le début de cette opération, trente ‘’faux’’ policiers qui ont fait de l’arnaque des conducteurs dans la circulation routière leur gagne-pain ont été épinglés et accusés d’être responsables des embouteillages rocambolesques dans la ville de Conakry. Inconnus des services de police, ces faux policiers ont été déportés à la maison centrale avant d’être déférés devant un tribunal de justice où ils devront répondre de leurs actes.
Les quinze autres sont des policiers déserteurs de leurs postes pour se livrer à des pratiques qui n’honorent pas la police. A ce jour, ils ont été mis à la disposition de l’inspecteur général de la police qui prendra des sanctions administratives contre eux pour abandon de postes.
Une enquêtes est en cours pour dénicher des cadres de la police ayant favorisé l’intégration de faux policiers dans la circulation routière, indiquent nos sources.
Boubacar Sidy BAH, pour VisionGuinee.Info
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Une solution existe. Elle est à la fois radicale et efficace à mon avis. Il faut un refus catégorique de s’arrêter à des endroits non appropriés pour des contrôles de police.
Et dans le cas où il s’arrête, il faut que les usagers filment ou enregistrent et surtout refuser de payer de l’argent, c’est que les choses vont changer si le fameux policier veut forcer l’usager alors là qu’on lui dégage de force et le bastonne comme un fous.
Et pour dénoncer ce genre de délits il faut avoir à qui le dire le patron de la com du Ministère devrait faire son travail pour permettre de les confondre.
Le Ministère devrait aussi bien repartir ses équipes sur des points stratégiques de la ville et en informer les citoyens cela évitera un grand nombre de frustrations.