[dropcap]U[/dropcap]n régime de semi-liberté a été accordé à Ousmane Gaoual Diallo, Chérif Bah, Cellou Baldé et Abdoulaye Bah, tous cadres de l’UFDG. L’ancien ministre de la réconciliation nationale attire l’attention de l’opinion sur le cas des autres détenus politiques.
Le président de l’Union des démocrates pour la renaissance de la Guinée (UDRG) attire l’attention de la communauté internationale sur la situation des détenus politiques en Guinée.
Bah Oury appelle les ONG de défense des droits de l’homme à s’impliquer davantage pour la libération des prisonniers peu connus du grand public.
‘’A un moment donné, il y avait plus de 300 et quelques personnes à la Maison centrale de Conakry. D’autres qui sont détenus à l’intérieur du pays. Donc l’ensemble des personnes liées à des faits politiques durant ces 2 à 3 dernières années doivent bénéficier de la même attention et de la même mobilisation des organisations internationales, mais aussi nationales’’, souhaite Bah Oury.
Cet opposant se dit plus que jamais préoccupé par la recrudescence de la violation des droits de l’homme dans notre pays.
‘’Il y a beaucoup de personnes qui perdent la vie dans ce pays pour un rien, pour un oui un non. Il est nécessaire d’en finir avec cette récurrence d’emprisonnement, de criminalité, de tuerie, voire même d’exilés politiques’’, indique Bah Oury.
Pathé BAH, pour VisionGuinee.Info
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