Cheikh Yérim Seck risque de quitter la chambre 3 qu’il occupait jusqu’ici pour une autre beaucoup plus peuplée. Nos confrères de LaTribune expliquent les raisons de cette mutation.
Dans sa livraison du jour, ce quotidien soutient que « cette mutation serait liée au portable trouvé chez lui mais aussi et surtout à la volonté du nouveau Directeur de « mettre de l’ordre » dans cette maison de détention ».
Selon notre source, l’ancien journaliste de Jeune Afrique, qui n’en est d’ailleurs pas à sa première « altercation » avec les autorités de la prison de Liberté 6, avait été giflé par un garde pénitencier qui l’avait même blessé. Cheikh Yérim Seck avait voulu porter plainte, mais c’est un de ses amis avocats qui l’en avait dissuadé. « Le 02 Janvier 2013, j’ai été agressé par 2 gardes pénitentiaires qui m’ont défoncé 2 dents de la gencive supérieure. Cette agression (attestée par le certificat médical ci-joint qui établit 30 jours d’incapacité) m’a causé de graves dégâts à la vue et au cerveau » révéle le journaliste dans la Tribune. Aujourd’hui, avec la nouvelle tournure des choses, il est fort probable que notre confrère remette au goût du jour sa plainte. A moins que le Magistrat Boubou Diouf Tall, président de l’Observatoire national des lieux de privation de liberté (Onalp), se penche sur son cas.
Visionguinee.info avec Senego