En ce dimanche 22 mars 2020, aux quatre coins de la planète les populations du monde en entier redoutent quasi indistinctement la même menace effroyable née de cette crise ambiante du Coronavirus (Covid-19). la Guinée quant à elle, ne trouve pas mieux que de se singulariser plus que jamais par l’iniquité du fonctionnement de ses institutions et l’entêtement sadique de son « pseudo-Pr » de président de la République, que l’on savait certes entouré d’un redoutable gang de pilleurs mafieux, mais tout de même…

L’on soupçonnait évidemment les principaux tenants de cet Etat-RPG/AEC voyou d’être capables des pires exactions répressives entre autres, mais pas d’aller jusqu’au bout de l’ignominie politique en créant à grands frais du contribuable guinéen, les conditions d’une propagation du virus; par l’organisation de ce simulacre d’élections sur l’étendue de tout notre térritoire national, de surcroît !

Eh bien, sans trop préjuger de l’avenir immédiat de cette dangereuse parodie électorale, qui fera date dans l’histoire souvent cauchemardesque de notre nation, on peut raisonnablement se risquer à un pronostic. Le menteur et cynique mysticateur de la vieille FEANF vient au moins de signer ainsi la fin prématurée de sa gouvernance chaotique, qui n’aura quasiment servi qu’à l’enrichir avec son entourage de pilleurs ethno-mafieux, en appauvrissant plus que jamais les Guinéens dont les jeunes sont devenus les tout premiers pourvoyeurs des contingents de désespérés migrants africains vers l’occident.

Eh oui, si les pistes du périlleux Sahara et les fonds des eaux froides et agitées de la Méditerranée pouvaient seulement témoigner !

Mais forts ne serait-ce que des désapprobations unanimes de la communauté internationale, de l’écrasante majorité de l’opinion nationale et surtout du significatif mot d’ordre de résistance lancé ce vendredi 20 mars par l’ensemble des 4 coordinations régionales des sages du pays, il ne restera plus aux Guinéens avisés qu’à se joindre massivement à la dynamique du FNDC, pour répliquer vigoureusement à ce coup d’Etat constitutionnel, en allant dégager Alifa Koné de Sékhoutouréyah, sans plus rien attendre.

Ce sera là de toute évidence le seul moyen qui reste de sauver la Nation d’une imparable guerre civile. Laquelle ne profitera même pas aux fanatiques casse-cou que leurs haines ethniques sur fond d’avidités matérielles exacerbées obsèdent et aveuglent (…)

Comme du temps son idôle, le sanguinaire Sékou Touré, il ne faudra plus hésiter à ressusciter les slogans bidon du genre:
Vive le peuple de Guinée réconcilié et enfin uni dans les mêmes idéaux de progrès social et de développement sociopolitique et économique !
Vive la Nation guinéenne enfin pacifiée et débarrassée à jamais des démons de l’ethnocentrisme !
A bas Alifa Koné et son calamiteux système de gouvernance !