[dropcap]L[/dropcap]e pouvoir de Conakry et son opposition sont à couteaux tirés. Les opposants au régime Condé dénoncent la violation flagrante de loi par l’exécutif, qui prévoit l’organisation des communales 6 mois après la tenue des législatives. Chose qui se fait toujours attendre pourtant.
A la question, la mouvance présidentielle ne passe par mille chemins pour répondre. Son porte-parole s’inspire d’un passé relativement récent pour trancher. En toute aisance, Dr Saliou Bella Diallo soutient que le fait de retarder ces consultations électorales n’est pas l’apanage que du régime actuel.
‘‘La troisième République a hérité du dépassement de mandat des conseillers communaux urbains et ruraux du régime Lansana Conté. C’est une évidence’’, dit-il.
Poursuivant, l’ancien ministre de l’Enseignement technique et de formation professionnelle ajoute qu’au cours de cette même deuxième République, ‘‘il y a eu expiration du mandat de l’Assemblée nationale. Le pouvoir de Lansana Conté a procédé à une prolongation. Donc, l’expiration du mandat des élus locaux n’est pas une chose propre qu’à la troisième République’’, coupe court l’ancien vice-président de l’UFDG.
Mady Bangoura, pour VisionGuinee.Info
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C’est il vous plais du kalm est très pries d’ans et la guinneé et à vous diespous merci pour la bon aire guinneé et de guinneén