[dropcap]I[/dropcap]ls dorment à la belle étoile depuis leur expulsion par des bérets rouges mercredi de la maison qu’ils occupaient jusque-là au Buffet de la Gare, dans la commune de Kaloum. Pendant leur mère purge sa peine de 15 ans de réclusion criminelle à la Maison centrale de Coronthie, ces enfants sont devenus des sans-abris.
Dans un entretien accordé à VisionGuinee, Maître Emmanuel Bamba a condamné cette expulsion qu’il qualifie de violations graves de droits de l’homme: ‘’Nous considérons cette réaction disproportionnée comme étant une violation grave et délibérée des droits de l’homme et de toutes les règles qui régissent le contrat de bail en Guinée. Mme Fatou Badiar étant héritière de son mari qui est décédé est liée à l’Etat guinéen, à travers le Patrimoine bâti public, par un contrat de bail qui révèle exclusivement du droit civil’’.
Il assure que la famille Fatou Badiar est installée dans le bâtiment en vertu d’un contrat dument signé par le patrimoine bâti public. En pareille circonstance, note-t-il, si l’Etat veut le récupérer, la procédure en la matière recommande qu’il assigne la famille en justice si toutefois, celle-ci ne veut pas librement quitter les lieux.
Du côté du Patrimoine bâti, on argue que dame Fatou Badiar doit à l’Etat 9 ans d’arriérés de loyer. Ce que dément la famille de cette dernière qui dit s’être régulièrement acquittée de ses obligations. Nous avons pu nous procurer de quelques images des enfants de Mme Fatou Badiar Diallo avec leurs affaires exposées à même le sol pendant cette saison des pluies.
Sidy BAH, pour VisionGuinee.Info
00224 628 32 85 65/sidy.bah@visionguinee.info
L’Etat peut récupérer ses biens, mais s’il-vous-plaît ne jetez pas des enfants à la rue.
C’est triste de regarder ces images. L’Etat aurait dû reloger cette famille dans un endroit descend.
On ne peux pas abandonner des enfants dans la rue sans solution.
Il faut que le gouvernement, les associations ou des personnes de bonne volonté viennent au secours de ces enfants.
Quand on voit ces images, on a l’impression que le pays est en Guerre.
Quand j’entend le mot « MORAL » dans la bouche de certains , j’ai envie de dire « Où est la morale ici ? »
Mon ami fait un premier geste
Il la fait en dénonçant cette barbarie. Et toi dit moi qu’a tu fais pour ces enfants
En Guinee ce n est pas celui qui a commis le mal qu il faut blamer, c est plutot celui qui denonce ce mal
Tu es pitoyable et sans coeur.
ses genres des trucks prouve a suffisance une fois de plus l’inconscience du pouvoir d’Alpha Condé, comment cèla peut il être possible dans un pays ou on parle de MORAL. Je regrette d’etre guinéen.
C’est vremt pitoyable les enfants dans rue on dirait des réfugiés le gouvernement a la solutions en mains… En tout cas c’est pas un bon image pour la guinée sincèrement.
Si tu regrette d’être guinéen va t-en, comment le pays peut avancer ec ces propos? Des intellectuelles qui parle n’importe comment
Inhumain
on peux effectivement regreter d etre guineen dans ce genre de circonstance comme ton faux professeur qui regrete d etre musulman. Lui qui a vecu 40 ans gratuitement en france loger et nourtit par des familles et la secu. oh j oubliais qu il le fut en Guinee d abord avant de venir. Vous etes sans pitie vous, Alifa n a fait que vous aider a exteriorise votre haine
alors vs pouvez changez
de natinnalité
je suis vraiment contre cette attitude de la part des autorités guinéennes .ses enfants sont des êtres humains ou ils vont allés ? je pense bien que ses autorités sont sans foies ni pitiées.
C’est le gouvernement de Guinea is back…on pige de quoi sa signifie….suis désolé vraiment désolé
Pendant que les autres États se battent pour reloger et protéger ses citoyens voila que la gouvernance guinéenne nous fou la honte avec ces images preuve de manque de savoir et ce pourquoi ils sont élus.Qui protège t elle alors
un jour la verité triomphera
L’opposition peux venir Au secour pour montrer u ne Bonne volontee aussi parceque demain c’est leur tour.
Alpha conde Est gamin son compagnie est tous ce qui lui soutien sont pas circonsi ces sont des modies.