Le développement du réseau social au succès planétaire Facebook approche de sa fin, comme une maladie infectieuse qui se répand rapidement et puis disparaît, selon une étude publiée la semaine passée par des chercheurs de l’université de Princeton, recourant aux maladies pour modéliser les cycles de vie des réseaux sociaux, où l’inscription est comparée à l’infection et la désinscription à la guérison.
Les conclusions de cette analyse devraient être tempérées pour plusieurs raisons, a nuancé le site Slate. D’abord, parce que les statistiques de Facebook et MySpace ont été confrontées en utilisant Google Trends, alors qu’aujourd’hui, les utilisateurs de Facebook recourent massivement à l’application installée sur leur smartphone pour se connecter directement, ne passant plus par Google, comme c’était le cas à la grande époque de MySpace. Ensuite, parce que les auteurs appartiennent à un département dont le lien avec l’épidémiologie ou les réseaux sociaux ne saute pas forcément aux yeux.
facebook est le numero one du point de communication.grace a face book jai des amis un peu partout ds le monde.ça renforce des liens interplanetaire.dc très cool pr moi.