[dropcap]L’[/dropcap]opposant et président du Bloc Libéral a décidé de quitter le dialogue politique qui se tient au Palais du peuple. Dr. Faya Millimono est sorti de la salle où se tiennent les discussions avant la fin des travaux, y laissant ses pairs de l’opposition et le camp présidentiel.
Le dirigeant de la 4e force politique du pays a fait une déclaration à la presse après avoir quitté la salle des actes. ‘’Tout en accordant de l’importance à ceux qui sont dans la salle du dialogue, on doit accorder de l’importance à ceux qui ne sont pas présents. C’est pourquoi, j’ai cru important de ne pas être temoin de ce qui va suivre’’, a-t-il déclaré en substance.
Dr. Millimono n’approuve pas le consensus obtenu par la mouvance et l’opposition sur l’organisation le 18 décembre prochain des élections communales sans les locales.
Les deux camps s’accordent à désigner les chefs de quartier et district sur la base des resutats obtenus par chaque parti plitique aux prochaines élections communesl.
Toute chose que Faya Millimono trouve contraire à la loi et aux accords du 20 août 2015. ‘’L’histoire n’enregistrera pas que le Bloc Libéral que je représente ici ait accepté que les élections ne se tiennent pas dans les quartiers et les districts”, déclarait-t-il vendredi à la fin des négociations.
Boussouriou Doumba, pour VisionGuinee.Info
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Merci Dr Faya, vous êtes un opposant de conviction, différent des prostitués politiques qui sont restés à cause de leur per diem. Dès l’instant je cesse d’être militant de l’UFDG et les prochains jours je vais adhérer à votre parti. J’en suis persuadé que si vous Dr Faya aviez les militants de l’UFDG, ça trouverait que vous avez accédé à la magistrature suprême de notre pays.
Courage Dr Faya vous êtes sur un bon chemin
Dans la mesure où cela viole la constitution, le BL et ou des citoyens doivent saisir la cours constitutionnelle car en effet, la constitution dit clairement que ces responsables locaux ne doivent pas être nommés ou désignés par des parti politiques mais issu du vote des résidents sans interférence politique. C’est donc simple, il faut tester encore une fois la cour constitutionnelle et son professionnalisme! c’est tout! Tout citoyen ou groupe de citoyens ou ONG ou encore tous en même temps peuvent saisir la Cour constitutionnelle. Et tant-pis si cela retarde les élections locales comme le veut le RPG et comme il l’a planifié sachant cela avec une opposition qui tout sauf « intelligente » et stratège ! Pauvre Guinée !