[dropcap]D[/dropcap]epuis que le président de l’Union des forces républicaines (UFR) a déclaré qu’il ne soutiendra son homologue de l’UFDG à l’élection présidentielle du 11 octobre, ce n’est plus le grand amour entre les deux formations politiques, selon bon nombre d’observateurs. Le porte-parole du parti de Sidya Touré pense plutôt le contraire.
‘’Il y a plusieurs partis politiques dans l’opposition républicaine qui se sont retrouvés pour partager un certain nombre d’objectifs afin de mettre leurs efforts en commun pour les atteindre. C’est essentiellement lié au processus électoral. Mais il arrive une période où on doit décider de ce qu’on doit faire pour l’élection présidentielle‘’, explique Mohamed Tall sur un média local.
À partir de ce moment, poursuit-il, ‘’vous avez deux possibilités : soit vous vous mettez d’accord sur un candidat pour mutualiser vos moyens et le faire élire, ou alors chaque parti reprend sa liberté et décide de manière souveraine de présenter un candidat. En ce moment chaque parti définira sa propre stratégie‘’. En choisissant de présenter différents candidats, assure le porte-parole de l’UFR, ‘’cela ne veut pas dire forcement que vous êtes divisés. On n’est pas arrivé là”.
Mais pour d’autres, rien n’exclut un possible rapprochement entre Sidya Touré et le parti au pouvoir. A ces derniers, Mohamed Tall interroge : “Le fait d’avoir sa propre stratégie, est-ce que cela veut dire que tous les partis ont basculé dans la mouvance ?” Et pourtant, précise-t-il, ‘’nous sommes dans le même cas de figure que le PEDN qui aura aussi son candidat. Mais là, je n’entends pas dire que le PEDN a basculé quelque part‘’.
C’est pourquoi, dénonce le porte-parole de l’UFR, “il faut qu’on arrête d’accuser particulièrement l’UFR d’aller dans telle ou telle autre direction. Pourquoi ne dit-on pas la même chose des autres partis notamment le PEDN ?”
Le porte-parole de l’UFR croit savoir une chose : ‘’L’opposition républicaine a été instrumentalisée par certaines personnes. Et cette instrumentalisation a donné l’impression à beaucoup de gens que les autres partis étaient agréés à un autre. Alors que chaque parti est indépendant à sa structure, sa souveraineté, son entité‘’. Mais pour la présidentielle, suggère-t-il, “l’opposition devrait se mettre ensemble, sinon la souveraineté de chaque parti ressortira davantage parce que chaque parti suivra son propre chemin”.
Djiwo Barry, pour VisionGuinee.Info
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Le doute qui plane sur la position de l’UFR est créé par Sidya lui même suivant ses déclarations. On ne sait plus dans quel camp se trouve l’UFR. La mouvance ou l’opposition ?
Si vous réagissez comme ca ce que vous mêmes vous n’êtes pas CLAIR. Vous mêmes vous doutez vers où aller
Non, UFR voudrait qu’on le soutienne aussi… Comme elle a soutenu d’autres partis…
L’UFDG et LE PEDN ont affirmé avec clarté qu’ils soutiendront le candidat de l’opposition qui arrivera au second tour si leur parti n’accéde pas à la finale.
L’UFR n’envisage pas de soutenir un candidat de l’opposition si Sidya n’est pas au second tour.
Alors mes chers UFRistes qui joue au flou ici?
Votre position indique que c’est vous ou le k.o. Si Sidya n’est pas au second tour il ne va pas soutenir un candidat de l’opposition ce qui implique qu’il va soutenir Condé.
soyons honnête, UFR n,était pas raisonnable sur son idée de candidature unique. les 2 élection ressent on montre que l,UFDG et 3 fois plus grand que l,UFR, cet pour ça personne net comprend le résonnement de cet parti. si cet l,UFDG qui dise ça on pais comprendre.
Vous pouvez quand mème vous entraidez en ne faisant campagne que contre le rpg. Comme aux législatives. Après on verra bien qui veut l’alternance pour que la guinée demarre enfin. Et qui ne le voudrait que pour soit.
les ufdgiste édenté munissez vous de beaucoup de paracétamol au soir du 11octobre car le un coup KO est inamovible wassalam.
Lol….!!!
Vraiment moi en 2010 je soutenait sidya au premier mai je suis dessus de son comportement a la idrissa seck