Impossible de comprendre que seuls les jeunes de l’axe sont sauvagement tués (opinion)
[dropcap]U[/dropcap]n guinéen de plus, un autre guinéen de trop, trouve la mort pendant les manifestations politiques. Toujours dans la même zone. Toujours les mêmes victimes. Toujours rien n’est fait pour rendre justice.
Rien ne justifie la mort de simples citoyens. Il revient à l’état de protéger tous ses citoyens. Ceux vivant sur son territoire tout comme ceux se trouvant à l’extérieur. Sans distinction aucune. Telle est sa mission régalienne, sa raison d’être.
Malheureusement, face à la démission de l’Etat, les morts font l’objet d’une comptabilité macabre et d’une querelle politicienne. Aussi triste que cela puisse paraitre, on spécule sur leur appartenance politique. Le gouvernement, au lieu de diligenter des enquêtes sérieuses, nie toute responsabilité et tente d’imputer l’entière responsabilité à l’opposition. Une occasion de plus pour celle-ci, d’augmenter son fonds de commerce.
Non, ces victimes ne sont ni de l’opposition encore moins de la mouvance. Personne n’a la preuve de leur appartenance politique. S’arcbouter sur les considérations patronymiques relève d’un autre âge. L’évidence est qu’ils sont des guinéens. La République s’adresse à tous ses fils. Et ils ont alors le droit à la justice et à un enterrement digne.
Ces victimes, nos enfants
Ils sont partis à jamais. Ces victimes, nos enfants. Et pourtant, nous portons leur deuil. Dans l’espoir que justice leur sera rendu ici-bas. Les mots nous manquent toujours, pour exprimer le vide laissé par leur absence. Dans nos cœurs pleins de désarrois. Combien de lune allons-nous attendre ? Une justice qui ne fait qu’attendre. La requête d’un procureur en attente.
Impossible de comprendre que seuls les jeunes de l’axe sont sauvagement tués. Le sentiment d’injustice fait son chemin dans la zone. Le sang continue de couler. Les populations renouent avec les deuils, les pleurs et… les peurs. Pourtant, Montesquieu nous a sagement avertis qu’une injustice faite à un seul est une menace à tous.
Par Amadou Tidiane BARRY
Acteur de la société civile
00224 628 827 410/barrytidiane2012@gmail.com
A partir de maintenant il faut cesser d envoyer dans la rue pour affronter les forces de l ordres
Je me demande si ce pays a une justice. Alors à partir d’aujourd’hui jamais et plus jamais mon propre fils ne sera militaire sanguinaire. Car j’ai horreur de voir ces militaires maintenant. Qu’ALLAH accepte nos personnes mortes injustement dans son paradis éternel (amine)
il faut une manifestation pacifique sans injures, sans provoqué, sans insulter les forces de l’ordre, sans empêché les nons manifestants a vaquer a leur occupations et sans bruler les pneu et détruit les edifices publiques. la sil ya mort d homme on doit véritablement sanctionné les meurtriers. l’opposition mémé ne maitrise pas ses manifestant.
on manifeste contre le pouvoir en place non contre les guinéens en les empêchant de vaquer à leur occupation ou a barricadé les routes avec les pneu.
C’est pas tous les guinéens qui sont intéressés par la politique alors faites votre manifestation politique sans empêcher les autres de vaguer à leur affaire .
Beaucoup de Guinéens s’en fou de la politique et se moquent des politicien et militantisme c’est ce qu’il faut comprendre .
Notre pays s’étend sur une superficie de 247 852 000 kilomètre carrés et combien de fois plus grand que l’axe de mal et combien de fois plus habité que l’axe de mal .
L’axe de mal est fait pour le mal .
Nous prions Dieu à ce que l’âme de ce qui meurent dans ces manifestation soit bien accueilli dans le paradis Amen !!!
Mais plus de jet de pierre sur des personnes innocentes .
Bonjour à toi .
A d’entendre parler je l’impression que tu n’as de cœur. Pour moi rien ne justifie la mort d’une personne car même la peine de mort est abolit en Guinée . Ce qui faut comprendre nous tous nous somme appeler à rejoindre l’au delas et rendre compte de tout ce qu’on na pu faire sur cette terre à Dieu donc pour moi nous somme tous des humains et nous devons préserver l’être humain quel qu’en soit son appartenance politique ou ethnique.