Mon rationalisme est mon principe. Toute entrave à la raison m’agace. Et lorsque je suis agacé, ma meilleure manière d’exprimer cette émotion, c’est de prendre ma plume.
Il y a des personnes qui passent beaucoup de leur temps à disqualifier tous ceux qui tournent autour d’elles. Elles paraissent se réjouir en dénigrant les autres. Ces types de personnes sont des gens toxiques.
Des gens perdus qui évaluent de manière permanente ce que nous disons et ce que nous faisons. Ou ce que nous ne disons pas et ne et ne faisons pas. Jean Marie Doré, ce politicien qui se dit centriste, est une personne toxique. Un ‘disqualificateur’.
Le disqualificateur a pour objectif principal de contrôler notre autoestime. Nous faire sentir ‘ nul ‘ face aux autres. Pour que de cette manière, il puisse briller et être le centre de l’univers.
Les critiques négatives de JeanMarie Doré à l’égard du président de l’UFDG, sont d’une rare curiosité. Mr. Doré annonce récemment, que le leader de la première force politique guinéenne, Cellou Dalein Diallo, «ne sera jamais président en Guinée ».
Mais, ce que Jean Marie Doré refusera toujours de reconnaître, c’est que l’UFDG est le premier parti d’opposition en Guinée. Cellou Dalein n’est pas au pouvoir, certes, mais il n’en demeure pas moins qu’il a une forte influence sur le pouvoir d’Alpha Condé. Dans une démocratie, ceci est un acquis de grande importance. Une ligne droite vers des objectifs politiques.
Mr. Doré ne le sait peut-être pas. Entre « envier » et « admirer », la différence est notable. Envier, c’est « Je te regarde pour te détruire ». Admirer, c’est « Je te regarde pour apprendre comment tu l’as réussi ».
A défaut d’admirer le premier parti d’opposition en Guinée, Mr. Jean Marie Doré ferait mieux de demander sa retraite en politique. N’est-ce pas que l’âge trop avancé, parfois, peut altérer notre capacité d’analyse? L’UFDG ne peut pas être la dupe d’aucun autre parti politique. Face aux critiques négatives, nous devons observer si celui qui critique a réussi plus que sa victime ( sûrement non, et pour cela il critique ).
Depuis Bruxelles, Naby Laye Camara