[dropcap]L’[/dropcap]opposition dite républicaine manifestait une nouvelle fois lundi dans la capitale contre le calendrier électoral. Des échauffourées qui ont éclaté entre manifestants et forces de l’ordre ont fait un mort et une vingtaine de blessés dont dix par balles, selon l’opposition.
Dans une déclaration faite à la presse par Romain Nadal, porte-parole du ministère des Affaires étrangères, la France déplore les violences qui se sont produites à Conakry le 4 mai à l’occasion de manifestations de l’opposition ‘’non autorisées’’ par les autorités.
‘’Dans la perspective des prochaines échéances électorales, ajoute-t-il, nous appelons les acteurs politiques guinéens à la retenue et au dialogue dans le respect de la Constitution’’.
A Conakry, la main tendue du pouvoir pour la reprise du dialogue semble être jusque-là rejetée par l’opposition qui exige au préalable le gel des activités de la commission électorale avant de retourner à la table de négociation.
A l’allure où vont les choses, la classe politique dans son entièreté, avec le climat de méfiance entre mouvance et opposition, se tourne de plus en plus vers la communauté internationale pour tenter de sortir de l’impasse politique.
Ciré BALDE, pour VisionGuinee.Info
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la guinée de changé de stratégie le peuple de guinée avanson la guinée doit changé libérons nos esprit pour notre chers guinée
Quelle galere en Guinée! Mai la cauz d tou ça c alpha condé