‘’La Guinée n’est pas à l’abri de menaces terroristes‘’
[dropcap]L[/dropcap]e vendredi 13 novembre dernier, la France a été touchée par une série d’attentats au cœur de Paris. Mercredi, lors d’une conférence avec la presse, le président du Conseil national des organisations de la société civile guinéenne s’est prononcé sur ces attaques terroristes.
Dansa Kourouma a d’entrée de jeu exprimé sa solidarité avec la France. ‘’Ce sont des victimes innocentes qui ont payé le prix. Pourquoi tuer de pauvres populations à cause des décisions politiques qu’ils ne maitrisent pas‘’, s’indigne l’activiste de la société civile.
Il estime que la solution, l’efficacité des mesures ou des réflexions contre le terrorisme ont prouvé leurs limites car, dit-il, ça été toujours pris sous l’angle politico-politicienne, des relations géostratégiques et des intérêts entre Etats.
Donc, indique-t-il ‘’ la société civile a son mot à dire car les victimes, les bourreaux sont les citoyens de différents pays du monde ‘’, avant de préciser que : ‘’Le débat doit être ramené au niveau des parlements‘’.
Aujourd’hui, note Dansa Kourouma, ‘’la Guinée n’est pas à l’abri de menaces terroristes‘’. C’est pourquoi, souligne-t-il, ‘’la Guinée devrait se positionner dans la dynamique mondiale de réflexion enclenchée par la société civile depuis Dakar‘’.
Djiwo Barry, pour VisionGuinee.Info
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Je suis tout à fait d’accord avec Dr ansa. L’état qui dois anticiper les. Choses en renforçant sécurité partout où cela est nécessaire. Vaux mieux prévenir que guérir