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Le CCFG abrite du 5 au 7 février le Festival des premiers films

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[dropcap]I[/dropcap]ls mènent un combat ensemble pour mettre en valeur les promesses du cinéma guinéen débutant, tout en rendant hommage à l’âge du cinéma de notre pays. Ils sont professionnels du 7eme art et sortant de l’institut supérieur des arts de Guinée, ces jeunes montrent une volonté manifeste de faire des films en Guinée avec des moyens dérisoires.

Festival premiers filmsLeur objectif, soutenir et vulgariser la création vidéographique en Guinée. C’est dans ce cadre qu’ils organisent depuis 2 ans le Festival des premiers films. L’édition de cette année qui se tient du jeudi 5 au 7 février a lieu au centre culturel franco-guinéen (CCFG).

Pour cette 2e édition, le festival se construit autour de la thématique ‘’Politique mémorielle et création cinématographique’’. La cérémonie d’ouverture a connu la présence de Bertrand Cochery, ambassadeur de France en Guinée, du Professeur Djibril Tamsir Niane, d’Aly Badara Sylla, directeur de l’Institut supérieur des arts de Guinée et d’éminentes personnalités de la culture.

Le directeur du Festival des premiers films, Noël Lamah a indiqué que l’idée d’organiser ce festival est née de la volonté de combler un vide dans la promotion et la production des œuvres cinématographiques en Guinée.

Pour lui, il s’agit d’un espace de découverte de talents cachés jeunes.  ‘’Nous ambitionnons faire du Festival des premiers la vitrine de la création vidéographique en Guinée’’, avant d’annoncer que sept courts métrages de documentaire et de fiction, d’une (1) à trente (30) mn seront primés cette année au cours du Festival.

Ces œuvres, selon le règlement des organisateurs, doivent avoir été réalisées au cours des trois dernières années par un jeune de moins de 35 ans.

L’ambassadeur de France en Guinée, Bertrand Cochery a indiqué que cette rencontre culturelle est une occasion pour mettre en valeur le patrimoine artistique qui constitue la cinémathèque Afrique de l’Institut Français de Paris.

Une rencontre universitaire sur la question du genre testimonial en présence d’historiens et cinéastes français et guinéens, ainsi qu’un concours de scénarios et atelier d’écriture documentaire sur le thème : écrire/filmer la mémoire ponctueront la deuxième du Festival des premiers films.

Djiwo BARRY, pour VisionGuinee.Info

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