[dropcap]L[/dropcap]e syndicaliste Aboubacar Soumah vient de marquer des points. L’homme, à l’origine des deux récentes grève dans l’éducation, avait posé comme préalable à toute négociation, la reconnaissance du congrès électif qui l’a porté à la tête du Syndicat libre des enseignants et chercheurs de Guinée (SLECG).
Dans les médias, il a dénoncé l’attitude de l’inspecteur général du travail, Alya Camara qui lui a adressé un courrier en tant qu’Aboubacar Soumah et non pas au secrétaire général du SLECG.
‘’La correspondance qui a été adressée au SLECG n’est pas en bonne et due forme (…). L’inspecteur général du travail a adressé la correspondance à M. Aboubacar Soumah et non au secrétaire général du SLECG’’, a-t-il martelé, donnant un ultimatum aux autorités pour l’adresser une lettre avec la mention ‘’secrétaire général du SLECG’’.
Son coup de gueule a fini par payer. Les autorités lui ont envoyé une nouvelle correspondance l’invitant à une rencontre ce vendredi 4 mai dans la salle de réunion du centre de perfectionnement administratif (CPA) à la Fonction publique.
Il sera question de la mise en place d’une commission paritaire Gouvernement/Syndicat en vue de l’ouverture d’un couloir de négociation sur un salaire de base de 8 millions de francs guinéens par enseignant.
Boussouriou Doumba, pour VisionGuinee.Info
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Gorko sousaï. Bravo Aboubacar Soumah
Oh le babatchai t’es un homme
Toutes mes félicitations à ce brave mr que des voyous cherchent à humilier pour plaire au président. Il se bat pour le bonheur de la GUINEE.
Les éthno stratèges devraient s’en inspirer au lieu d’opposer les guinéens