Libération de détenus politiques : le général Bouréma Condé met les points sur les i
[dropcap]L[/dropcap]e leader du Bloc Libéral, Faya Millimono évoquait le sujet vendredi dernier au terme des négociations. L’opposait précisait qui sont les détenus concernés par l’accord obtenu au dialogue politiques.
‘’Nous avons sollicité, pour une question d’apaisement de la situation politique et sociale que ces personnes soient libérées conformément à la loi, exceptés tous ceux qui sont arrêtés et condamnés pour crime de sang’’, indiquait-t-il au sortir du huis-clos.
Lundi, le ministre de l’administration du territoire et de la décentralisation abordait le sujet dans le même. Selon le général Bouréma Condé, ‘’quand il faut libérer les prisonniers, nous sommes dans un pays de droit et la justice, les acteurs ne peuvent que le solliciter. Les deux camps ont exprimé le vœu que des mesures soient diligemment examinées par qui de droit’’.
Même son de cloche en ce qui concerne la mise en place de la Haute cour de justice. ‘’Là aussi, on a exprimé un vœu. Parce qu’il s’agit d’une institution républicaine, mais c’est une forme de sollicitude’’, souligne-t-il.
Boussouriou Doumba, pour VisionGuinee.Info
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Foute nous le camp avc ton faut président la, si vous nous parlez de justice en Guinée sa fait rire noun Allah, ceux qui sont arrêtés pendant les les manifestations quesqu’ils ont fait réellement comme mal ?si vous parler de justice ou est issa camara ? ( Pour l’affaire de Mali yemberin ).
Le problème des militants de lufdg, ils aiment aller vite en besogne, ils n’aiment pas du tout la vérité en faisant croire qu’ils ont le monopole de la vérité or c’est le contraire, je suis désolé mais ils n’y a pas de prisonniers politique dans notre pays, essayer de faire la des choses, laissés la haine de côté disons la vérité ceux dont vous parlez c’est des militants emprisonnée pour différents motifs et c’est #prisonniers politique
Pour mettre en place la haute cour de justice, il faudrait quemander la bienveillante sollicitude de mr le président, Que n’entendait on pas des ministrons guinéens.Une institution prévue par la constitution……et le quidam de rajouter , nous sommes dans un pays de droit, c’est tout simplement révoltant
bien dis samba sidibé, les militants de l ufdg sont aveuglé par la victimisation, ils pensent qu en guinee , qu ils sont les seuls pauvres, les seuls maltraiter , les seuls miserables. ils passent tout leurs temps a se plaindre et a se victimiser, et pleurnicher