[dropcap]E[/dropcap]n Guinée, les manifestations se soldent par des morts. Une situation qui ne laisse pas indifférent le ministre d’Etat conseiller spécial du président de la République et leader de l’Union pour le progrès et le renouveau (UPR). Devant ses partisans, Bah Ousmane a appelé toutes les parties à la retenue et à l’apaisement.
‘’Résolument engagé dans la voie du dialogue et de la concertation, le parti UPR prêche toujours l’apaisement et la tolérance qui permettent de trouver les solutions idoines aux différends qui opposent les mouvances politiques et sociales’’, indique Bah Ousmane.
Il déclare que son parti ‘’s’insurge contre les crises à répétition sous forme de violences meurtrières et de destructions d’édifices publics et privés résultant des manifestations’’, avant d’appeler le gouvernement à prendre les mesures appropriées pour la manifestation de la vérité sur les cas de morts enregistrés.
Poursuivant, il dit à qui veut l’entendre que sa formation politique, tout au long de son histoire, ‘’n’a cessé de condamner les recours à toutes les formes de violences comme moyen d’expression d’une quelconque opinion’’.
Le conseiller spécial du président Alpha Condé demande à l’opposition de s’inscrire ‘’résolument dans la logique d’une démarche véritablement républicaine en vue de contribuer au rétablissement d’un climat de paix et de concorde sociale dans notre pays’’.
Boussouriou Doumba, pour VisionGuinee.Info
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Honte à vous. C’est des traîtres comme toi qui ont permis au sanguinaire sekou toure de tuer plus de 50 milles guinéens et ojordhui avec votre complicité c’est le criminel burkinabé alpha kone qui est en train de massacrer les guinéens.
Sale menteur,il n’y a jamais eu 50,000 morts sous Sékou Touré. C’est vrai qu’il ya eu des traitres pendus et autres. Mais pas au nombre de 50,000.
Il est difficile de ne pas s’inscrire dans la même ligne que ce que @Doura rappelle judicieusement ci-avant.
La communauté peule de Guinée souffre avant tout de ses carences à sévir contre ses propres brebis galeuses et traîtres. Ceux-là, femmes et hommes, dont les dictatures guinéennes succesives se sont toujours servies pour réussir à réduire plus de 50% de la population du pays au tacite « statut d’exclusion politique », que je dénonce inlassablement depuis des années.
En réalité, l’on continue à se tromper de croire qu’il est possible d’atteindre un véreux dictateur, en guerre ouverte contre toute une communauté ethnique, sans se soucier ne serait-ce que de dénoncer ouvertement les traîtrises actifs qui en sont issus: les Bah Ousmane, Mama Kanny Diallo, Mouctar Diallo, Bantama Sow et autres (…)