L’USTG menace de déclencher une grève en guise de solidarité au SLECG
[dropcap]A[/dropcap]près les Forces sociales, le Syndicat libre des enseignants et chercheurs de Guinée (SLECG) vient de bénéficier d’un autre soutien de taille. L’Union syndicale des travailleurs de Guinée (USTG) a brandi une menace de grève en guise de solidarité aux enseignants si le gouvernement ne prend pas ses dispositions pour ouvrir les négociations dans les plus brefs délais.
‘’Les libertés syndicales sont hypothéquées, le dialogue social est rompu, la démocratie est affectée. Le SLECG, qui est le syndicat du secteur éducation, a fait des revendications pour l’amélioration substantielle des conditions de vie et de travail des enseignants’’, introduit Abdoulaye Sow, numéro 1 de l’Union syndicale des travailleurs de Guinée (USTG).
Pour le syndicaliste, la grève des enseignants a duré trois mois sans résultat du fait de la rupture du dialogue. ‘’Le Premier ministre a dit que la suspension de la grève est le préalable à l’ouverture des négociations. Il affirme que les négociations doivent être faites en présence des autres structures syndicales’’, rappelle-t-il à la presse.
‘’Nous lui avons dit que nous sommes ouverts aux négociations, mais sans préalable. Nous souhaitons que toutes les dispositions soient prises autour de la table. Nous avons lui également dit que nous ne nous mettrons pas autour de la table avec une structure syndicale qui n’est pas porteuse de la revendication. C’est le SLECG d’Aboubacar Soumah qui est porteur de la revendication’’, précise le patron de la Fédération syndicale autonome des banques et assurances de Guinée.
Au nom de toutes les structures qui composent l’USTG, dit-il, ‘’nous tendons la main au gouvernement pour ouvrir sans préalable les négociations autour de la table avec le SLECG pour que nous trouvions des solutions dans l’intérêt supérieur de la nation’’.
‘’Et si des solutions apaisées ne sont pas trouvées, de Conakry à Yomou, pour que nos enfants aillent à l’école, nous allons tous en grève. La FESABAG, la FESATEL, le SLECG, le port, l’aéroport, tout le monde doit se préparer pour sauver l’éducation par le dialogue’’, assure le banquier.
Pathé BAH, pour VisionGuinee.Info
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C’est foutu pour l’éducation guinéenne. Ils ont transformé ce secteur aussi comme tous les autres en champs de bataille politique. Toutes ces démarches sont absolument politiques et doivent être traitées comme telles. Le gouvernement doit continuer à rester ferme et radier tous les enseignants qui prêtent leurs flancs aux politiciens véreux. La revendication de huit millions est irraisonnable et cache une ambition politique.
La politique du gouvernement par le biais d’un PM (Kassory F.) conduit à un Cul de sac sur la promesse de licenciement des grévistes de SLECG.Pourtant,c’est Kassory PM qui crée des préalables et,laissant trainer le problème existant pendant 3 mois.Donc,le licenciement est illogique,parce que la faute ne vient pas de l’employé,mais, plutôt de l’employeur.
Un gros bras de fer en perspective et,des têtes d’affiche risquent de tomber au sein de ce Gouvernement de Alpha Condé en Guinée.
Mercie pour votre soutiens si vs avez commencé par sa depuis longtemp ils aurais satisfaits les enseignants Kassory se prend comme il est l’unique fisl digne de cette pays il organise un soulevement de toutes les guineens pour chasser alpha condé et le moment est venus se n’est que des heures que ns comptons