
[dropcap]D[/dropcap]urant le premier mandat d’Alpha Condé, 22 manifestations de l’opposition ont été enregistrées. Le second mandat à peine député connait déjà 3 manifestations. Que ces protestations de l’opposition réussissent ou pas, elles attirent une attention négative sur la Guinée.
Tel est le point de vue du juriste et analyste politique Mohamed Camara. “Cela peut refroidir l’arrivée des partenaires dans notre pays et nous distraire”, explique-t-il, ajoutant les manifestations font l’affaire des businessmen de la crise.
Selon son constat, “l’opposition est en perte de vitesse en ne sachant même pas faire un contrôle des jours qu’il faut choisir (pour ses manifestations) allant jusqu’à choisir le 30 du mois alors que les gens sont en train de tirer le diable par la queue”.
L’analyste politique affirme que l’opposition doit faire des choix judicieux et le pouvoir devrait écouter. “La responsabilité incombe le Premier ministre parce que c’est lui qui doit nouer le dialogue. Il faut aussi que le chef de file de l’opposition s’affranchisse de l’emprise que ses militants ont sur lui, pour qu’à chaque fois il doit rencontrer le président de la république qu’il avance des choses”, suggère Mohamed Camara.
Sinon, prévient-il, “on va être dans une logique où la population va dire moi je n’ai plus de parti politique mais mon ventre et cela n’est pas bon pour notre pays”.
Aissatou Diallo, pour VisionGuinee.Info
00224 621 82 08 53/aissatou.diallo@visionguinee.info
Boone analyse de Monsieur Camara, ceux qui aspirent diriger le pays demain participent a sa construction. Si non, ils ne pourrons pas a leurs tour le dirigé. Ceci devient une politique de tu m’as fais echouer, je te ferai aussi echoué. La politique en Guinee est differente des autres pays et chacun de nous est coupable.
cellou sait qu il ne dirigera jamais la guinee, c est pour cette raison il tente de destabiliser la guinee pour allez se refugier au senegal ou en somalie