Exceptionnelle. La fête du
 cuir rond, parrainée par
 Antonio Souaré, a été un
 événement grandiose
 dans la cité de Cheick
 Oumar Tall.

Ce samedi 26 novembre 
a été un jour de grande
 mobilisation populaire
 au stade de Dinguiraye où se clôture le tournoi de football doté 
du trophée colonel Mamadi
 Doumbouya remporté par 
l’équipe de football de la commune rurale de Kalinko.

Du jamais vu
 dans la cité d’Elhadj
 Oumar Tall !
 Cette initiative réussie est à 
l’honneur d’un fils du terroir, en 
l’occurrence le conseiller personnel du président de la République, Thierno Mamadou Bah.

Il a été soutenu dans l’organisation du tournoi par le richissime
guinéen Vice-président du patronat unifié (CGE-GUI), Mohamed Habib Hann, le ministre 
des Sports Béa Diallo, le président de la Chambre de Commerce, d’Industrie et d’Artisanat
 de Guinée (CCIAG) et ses proches et collaborateurs de la présidence et des autres institutions républicaines.
 «Ceux qui sont nos aînés à Dinguiraye ici ont témoigné qu’il n’a jamais eu une telle mobilisation », se félicite Thierno Mamadou Bah devant les micros des
médias présents dans la cité
d’Elhadj Oumar Tall pour couvrir
le tournoi.

Et de préciser :
 « Nous n’avons donné de l’argent
 à personne. Nous n’avons pas
 envoyé de véhicule chercher
 qui que ce soit. Les gens ont 
volontairement adhéré aux
 idéaux du président de la République, chef de l’État, le colonel
 Mamadi Doumbouya. Ça, c’est
 un soutien indéfectible, sans
condition au président du CNRD,
 Son Excellence colonel Mamadi
 Doumbouya. C’est mon patron
comme vous le savez. En son 
nom et en mon nom personnel,
 je voudrais dire merci aux populations de Dinguiraye, merci
 aux jeunes, merci aux femmes,
merci aux sages, merci infiniment à tout le monde ».

Le coup d’envoi du tournoi de
football doté du trophée colonel
 Mamadi Doumbouya a été
donné le samedi 5 novembre.
 Il a mis en compétition les équipes de football masculin de la
 commune urbaine et des communes rurales de Dialakoro, Kalinko, Sélouma, Gagnakaly, Lansanaya, Diatifèrè et Banora.

Par Racine Dieng, in Le Populaire