Plutôt que de fuir les invectives des directeurs de conscience égarée sur la toile, il faut les affronter !
La peur d’être critiqué ou invectivé par les directeurs de conscience égarée qui pullulent les réseaux sociaux réduit nombre de personnes au silence, à l’inaction, voire à la capitulation.
Pourtant, en choisissant de se taire face à ces insulteurs publics, ces individus sans vergogne dont l’activité principale et récurrente sur la toile est de proférer des insultes à l’encontre d’autres personnes, on laisse libre cours aux grandes manipulations des évènements, donc à la falsification du vécu commun.
Les réseaux sociaux étant un terrain fertile pour la diffusion d’informations erronées, biaisées ou malveillantes, mais également un moyen efficace pour toucher la jeune génération, influencer l’opinion publique, voire déstabiliser une société.
En un mot comme un cent : plutôt que de se murer dans le silence ou de fuir les grimaces ou les invectives de ces directeurs de conscience égarée sur les réseaux sociaux devenus aujourd’hui la principale source d’information notamment de la jeunesse, il faut les affronter pour promouvoir les intérêts nationaux et empêcher que l’histoire soit taillée sur mesure ou racontée par un groupe ou un autre dans le but de favoriser un camp ou un autre. C’est ma conception.
Sayon MARA