[dropcap]D[/dropcap]u début de ma carrière à ce jour, j’ai été en 2010 et en 2011 finaliste du prix découverte RFI. En 2011, lauréat du concours Visas Pour la Création organisé par l’institut français à Paris, qui m’a permis de faire une résidence de création et de formation sur les techniques d’écritures et vocales durant 3 mois à la cité internationale des arts de Paris.
Grâce à cette résidence et ce prix, j’ai donc bénéficié d’une tournée Africaine de 14 pays en 18 dates.
J’ai reçu le prix ‘’Influential Reggae Artist Award’’ en 2012 aux Etats-Unis précisément à New York, de la part de ‘’Founders Of the Calebass Awards’’.
A cela s’ajoute cette double œuvre que je viens de réaliser tout en donnant une image positive de notre pays, de notre jeunesse et de notre culture. L’album et le livre en même temps: Malaya, une première en Afrique dans le milieu artistique.
L’album est déjà disponible sur toutes les plates-formes digitales et le livre est disponible un peu partout en Afrique et même à la Fnac en France.
De toute ma discographie connue et chantée partout en Guinée et ailleurs, de tous les succès de mes différents albums, je n’ai jamais eu un seul prix dans ce pays de merde, parce que tout simplement, j’ai pris position contre les régimes dictatoriaux qui se sont succédé dans notre pays.
Et lorsque je l’ai fait savoir à un confrère Burkinabé voyant leurs murs ornés de prix, lors du festival international de la liberté d’expression (Filep) au Burkina au quel je prenais part, il m’a tout simplement dit d’arrêter de me moquer.
Je m’en fous que les hommes reconnaissent ma musique et mon combat dans ce pays. Tout compte fait, n’attendons rien du peuple pour lequel on se bat. L’histoire s’occupera du reste. Moi je fonce.
Elie Kamano
Vad y petit fonces droit dans le mur et casses ta tête.regardez moi ce petit pretencieux.qui va te donner un prix en Guinée?
Pas d’accord que tu traites ce pays de merde car pr moi ce st les dirigents qui ont éte et demeurent tjrs une merde en revanche g suis parfaitement d’accord avc toi pr le mank de reconnaissance a l’egard des arstistes en general et de toi en particulier.