Renforcer les capacités des planificateurs et responsables des curricula pour une meilleure intégration de la réduction des risques de conflits et de catastrophes naturelles dans les politiques éducatives et curricula de formation des enseignants.

Tel est l’objectif de l’atelier sous régional, initié par le Bureau régional de l’Unesco basé au Sénégal, en collaboration avec l’Institut international pour la planification de l’éducation de l’Unesco, avec l’appui de l’Unicef qui se ténu à Abidjan.

Avant d’ouvrir les travaux, Faustin Kouamé, représentant la ministre de l’Education nationale et de l’enseignement technique ivoirien, a traduit l’espoir de son  Gouvernement «La ministre Kandia Camara veut fonder un espoir en cet atelier qui, par ses propositions, permettra aux enfants et partenaires de l’école d’être imprégnés de ce qui touche à la paix et la préservation de l’environnement. Levons-nous maintenant pour donner une chance à la paix !», a-t-il lancé. Jennifer Hoffman du Bureau régional Afrique de l’ouest de l’Unicef a indiqué que 40% des enfants non scolarisés vivent dans des conflits et de que dans le monde, 175 millions d’enfants en sont affectés. Pour elle, chaque dollar investi dans la prévention des conflit, permet d’en économiser 7.

De son avis, l’éducation permettra de garantir des droits de tous les enfants à devenir des citoyens nouveaux au service du développement de leur pays et du monde. Pr Lou Matthieu Bamba, secrétaire général de la Commission nationale de l’Unesco, soutenu par Ydo Yao, remerciant les autorités ivoiriennes, a insisté d’élever les murs de la paix et de l’écocitoyenneté dans l’esprit des enfants de la sous région, citoyens demain.

Boubacar sidy BAH

visionguinee.info