A la récente marche de l’opposition (le 23 mai 2013) le principe constitutionnel assurant la liberté de parole et l’échange des idées a été une fois de plus violé.
Et la convention des journalistes en danger estime inadmissible que des obstacles soient posés à la réception de l’information, notamment les émissions radiodiffusées, la presse écrite et en ligne.
A cet effet, des pertes sensibles ont été subies par les journalistes du fait de l’intrusion des forces de défense et de sécurité, des contre manifestants qui ont mutilé les pensées et les idées des journalistes.
Ce qui contredit leur indépendance, étant donné que leur activité constitue un des moyens de propager la vérité et l’objectivité.
Puissent les autorités et les Acteurs politiques, toutes tendances confondues, défendre la démocratie, la liberté de la presse, indépendante, et crédible.
Aussi, la Convention pour la Défense des Journalistes en Danger réaffirme son entière solidarité à nos confrères tout en déplorant que de tels abus soient commis sur les medias.
Le secrétariat exécutif
Il est vraiment regretable de voir ce pays si cher a nous, notre patrie, le seul endroit sur terre ou tout guineen se sent a la maison retomber dans de tels pratiques. Des pratiques que l’actuel gouvernement et les opposants tous ensemble ont farouchement defendu a une epoque ou l’on croyais etre au bout de nos peines. Il est fort regretable de constater que ce genre de situation reste d’actualite. Mais la question que je me pose et que j’aimerai soumettre a tous mes freres guineen est de savoir a qui la faute? Faudrait il tout remettre aux compte de la mouvance comme l’on sait si bien le faire en Guinee? Ou ca serait celui des ex-partenaires de cette meme mouvance qui ne veulent pas digerer le gout amere de la defaite? Ou es ce plutot ce people determiner mais ignorant, devouer mais indiut en erreur, desireux mais laisser pour compte?