[dropcap]L[/dropcap]a Commission électorale nationale indépendante a annoncé la tenue des élections communales le 4 février 2018. Une date qui ne rassure guère le vice-président chargé des affaires politiques du principal parti de l’opposition guinéenne.
Bano Sow perçoit des signes précurseurs qui lui font exprimer des doutes sur la tenue d que les communales à la date indiquée par la CENI.
‘’Nous avons accepté le chronogramme qu’ils ont proposé pour l’organisation des élections communales le 4 février 2018. A la date d’aujourd’hui, il y a des dérapages qui montrent qu’ils ne sont pas prêts d’organiser ces élections à la date prévue’’, annonce-t-il devant un parterre des militants et sympathisants de l’UFDG.
Il interpelle au passage le ministre de l’administration du territoire et de la décentralisation, le général Bouréma Condé. ‘’Il faut que le président du cadre du dialogue prenne ses responsabilités. La mise en place du cadre de la concertation entre les acteurs du processus électoral et la CENI n’est pas encore faite. La mise à disposition de l’arrêté portant actualisation du découpage administratif n’est pas faite’’, signale M. Sow.
‘’Vous pensez qu’on sera prêts le 4 février 2018 pour les élections ? Si j’étais à sa place, j’allais démissionner. Lorsque je m’engage à présider un cadre un comité de dialogue, un an après, s’il n’y a pas de résultats, je démissionne’’, déclare-t-il en faisant référence au général Bouréma Condé.
‘’Nous avons obtenu des avancées à la sueur de nos fronts. Il faut que vous soyez mobilisés, nous allons continuer à manifester pour obtenir nos droits’’, dit-il aux militants de l’UFDG, estimant que le chronogramme déroulé par la CENI connait des ratés déjà avant de brandir le chiffon rouge des manifestations : ‘’Nous allons reprendre la rues parce que nous n’allons pas nous laisser faire’’.
Boussouriou Doumba, pour VisionGuinee.Info
00224 666 90 54 16/boussouriou.bah@visionguinee.info
Mais tu fais rire toi, tu te bât pour être chef de quartier tu conseils l’autre de démissionner. Et puis tu dis à ta place je démissionne culture de démission ! tu parles.
si vous voulez , vous aller marcher jus qu en somalie , en tout cas , vous n aurez jamais le pouvoir chez nous en guinee.
Ecoutez moi ce vieillards appeler les enfants des autres a reprendrent la rue pour leur interet personnonels , tandisqué lui , ses enfant sont quelque part en europe entraint de manger du caviar.
Ce type est perturbé.donc laissez le divaguer.