[dropcap]L’[/dropcap]ancienne directrice nationale du Trésor public a été tuée le 9 novembre 2012 à bord de son véhicule à Kipé, près du centre-émetteur, dans la commune de Ratoma. Son assassinat n’était pas un règlement de comptes, selon le Porte-parole de la police, Boubacar Kassé, qui affirme que la défunte s’est retrouvée au moment endroit et au moment mauvai

Le directeur de la Sureté urbaine de Conakry était ce lundi 9 mars l’invité de parcours de l’émission phare, les Grandes Gueules, de la radio Espace Fm. Selon le commissaire Kassé, les présumés auteurs de l’assassinat de Mme Aissatou Boiro ont été mis aux arrêts et déférés au Tribunal de Première Instance de Dixinn fin décembre 2012. Il s’agit de Mohamed Sankhon, Oumar Lamarana Diallo, Alpha Oumar Bah et Ibrahima Sory Bah.
Le Porte-parole de la police affirme que la victime s’est trouvée au mauvais moment et au mauvais endroit le jour de son assassinat. ‘’Cette pauvre dame (Mme Boiro) a suivi le journal de 19h45 (le jour de sa mort) dans son bureau. Elle a appelé son chauffeur pour prendre son Ipad et ses produits pharmaceutiques. Entre-temps, elle est descendue pour place au siège avant à côté du chauffeur. Elle a fait venir un jeune qui entretient sa maison les weekends. Ils étaient donc trois dans la voiture’’, a déclaré le commissaire Boubacar Kassé.
‘’Ils sont venus jusqu’au niveau du stade 28 septembre où ils ont trouvé un embouteillage’’, explique l’officier de police. Pendant ce temps, un motard et deux véhicules 4×4 (un VA et un IT) arrivèrent à vive allure, indique M. Kassé. ‘’Et comme Mme Boiro était à bord de son pick-up avec une plaque VA, son chauffeur a suivi le cortège jusqu’au carrefour Transit. Elle a ensuite continué vers Kipé. Avant d’arriver au centre-émetteur, il y avait déjà eu l’attaque sur le véhicule de Paul Temple Cole. Mme Boiro a même entendu des coups de feu’’.
Prise de panique, elle aurait demandé au chauffeur de l’enlever à ce niveau, selon toujours la police qui pense que ce dernier aurait pu faire un demi-tour et mettre les feux de détresse. ‘’Mais au lieu de cela, il a continué à rouler vers les assaillants. Quand l’un des malfrats a vu le véhicule avec la plaque VA qui fonçait sur eux, il a tiré deux balles sur la portière de Mme Boiro’’, précise le commissaire Kassé.
Après avoir dépassé le centre Emetteur, le chauffeur de Mme Aissatou Boiro, dont l’identité n’a pas été révélée dans l’émission, concevait que sa patronne s’était endormie. ‘’Il pensait qu’elle dormait. Il a aussitôt posé sa main sur la poitrine de la dame en disant qu’ils ont pu éviter les malfrats. Lorsque sa main s’est imbibée de sang, il l’a conduite d’urgence au centre ‘’Mère et Enfants’’, où les médecins ont constaté son décès’’, révèle le Porte-parole de la police nationale.
Sidy BAH, pour VisionGuinee.Info
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le minimum qu’on puiisse faire avant de mettre un article en ligne c de le relire »Voir ci-dessus au moment endroit et au moment mauvai » au lieu de: au mauvais endroit,au mauvais moment (une expression pourtt tres connu)coordialement
etonnemoi
On dit « une expression pourtant très connue » et non « une expression pourtt tres connu ».
Coordialement avec deux o …….français est durrr deiii !
Il a abreger. Si u ne sai pa tai tw
Il n’ont pas trouvé des bons arguments pour expliquer cette scène
C’est trope bidon leurs explications
Manteur qu’ils ont coment la dame vas recevoir de ture sans que le chaufeur sois en courant et daihleur coment ils non pas pu savoir le nom duchaufeur ce ridiquil ça c’est gouverment assasain qui est alpha condé.
Comment peut-on tiré sr la portiere d’u ne vwtur ki vien ver nous sachan ke kan une vwtur vien ver nous c la parebriz ki fai face?