Le collégien Alhassane Barry tué à Dar-es-salam : ‘’il a été blessé à la tête par un projectile’’, selon la police
[dropcap]A[/dropcap]lhassane Barry a été tué mardi, au lendemain de la manifestation du FNDC, alors qu’il était sur le chemin de retour à la maison après l’école, en compagnie de son frère jumeau et des camarades de classe. Au lendemain de sa mort, le directeur central de la police judiciaire a évoqué l’affaire devant la presse.
Selon Aboubacar Fabou Camara, ce collégien, élève de la 10ème année au quartier Dar-es-Salam dans la commune de Ratoma, a été ‘’blessé à la tête par un projectile et conduit à l’hôpital national sino-guinéen’’.
‘’Son corps a été déposé à la morgue de cet hôpital et nous avons été avisés par les responsables de l’hôpital. Sans désemparer, nous avons dépêché une équipe et tenu informer M. le procureur de la République du tribunal de première instance de Dixinn’’, indique le patron de la police judiciaire.
Il affirme que des instructions fermes lui ont été données pour ‘’déposer le corps d’Alhassane Barry à la morgue de l’hôpital national Ignace Deen pour des fins d’autopsie afin de déterminer la nature de la blessure et les causes de la mort’’.
Fabou Camara annonce l’ouverture d’une enquête criminelle pour ‘’déterminer la responsabilité des auteurs, essayer de les trouver, les interpeller et les déposer au niveau du tribunal’’.
Bousssouriou Doumba, pour VisionGuinee.Info
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Les quartiers populaires en Guinée sont infestés des Mercenaires,des loubards et des bandits de toutes sortes qui portent des tenues militaires, gendarmes et policiers.Pourquoi,ne pas les démasquer ???.
Ou bien,ils sont en mission télécommandée ?.
Fabou, n’entreprends absolument rien. Nombreux meurtres ont été commis avec la bénédiction des forces de sécurité, de défense. Vous avez tiré sur nous même au cimetière. Que ferez-vous encore ? Vous avez franchi la limite de l’entendement humain. Vous avez, avec tes chefs (Alifa, ministre de la sécurité et autres corps constitués), soutenu ne jamais faire recours à des armes létales au cours de vos interventions. Vous niez même l’évidence. Vous voulez diligenter des enquêtes pour débusquer l’auteur du crime contre l’enfant ? Je le dis clairement : s’il faut arrêter, il faut mettre ✋ mains sur toi fabou , sur le directeur de la police dont le surnom m’échappe, sur Alifa, sur le finadèn Damantang, sur Bouréma et Alifa principalement. Votre enquête n’aboutira à rien. Dieu est plus grand.